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Cinquième étape

Les avantages de fréquenter une bonne église


Léon Martin un homme attaché à sa famille et un leader du monde des affaires, fut promu par une organisation nationale au poste de directeur général. Et cette promotion signifiait que Léon et sa famille devait déménager dans une autre ville.

Avant de faire l’achat d’une nouvelle maison située aux alentours de son nouveau lieu de travail et d’y emménager, Léon et son épouse Sally ont fait une chose intéressante. Ils cherchèrent en tout premier lieu une bonne église, et quand ils eurent arrêté leur choix sur celle qui rencontrait le mieux les besoins de leur famille, ils achetèrent une maison située près de l’église.

Les Martin connaissaient bien l’importance pour leur vie personnelle, familiale et spirituelle d’appartenir à une bonne église, de faire partie d’une bonne congrégation.

Cette famille ne représente pas un cas unique, en effet, plus de 120 millions soit 61% des américains sont membres d’une église. Quel autre organisme bénévole peut se vanter d’un tel taux de fréquentation?

Bien sûr qu’il n’existe pas d’église parfaite, et bien sûr que certaines personnes s’adaptent plus facilement à un certain type d’église qu’à d’autres. Mais si l’Eglise de Christ a réussi et ce depuis plus de 2’000 ans à apporter le message du sa-lut et à réunir les fidèles, il en va de soit que de nombreux frères et soeurs en retirent de précieux bénéfices spirituels et moraux. En voici quelques exemples.

Amélioration de la vie familiale. Selon un sondage Gallup, 82% des américains consultés ont déclaré que leur premier besoin était d’avoir une "bonne vie familiale". Je présume que les mêmes statistiques s’appliquent aussi aux autres peuples.

Plus d’une personne croit, tout comme les Martins, que l’église aide à mieux vivre une bonne vie familiale. Lors d’un sondage effectué, Edward A. Rauff, directeur du Centre de recherche et d’information du conseil de l’église luthérienne aux Etats-Unis, découvrit que selon les répondants la raison principale invoquée pour laquelle ils fréquentaient une église était de: "Garder la famille unie, et de resserrer les liens familiaux."1

Les gens se joignent à une église
parce que l’on y retrouve
en tout premier lieu lamabilité

Une étude conduite par le sociologue Steven Nock de l’université de Virginie supporte cette théorie voulant que l’église aide à améliorer la vie familiale. Dans les conclusions qu’il en tire, on peut lire que 42 % des couples qui fréquen-tent régulièrement une église, en sont à leur premier maria-ge, et que ceux qui croient en l’enseignement reçu à l’église possèdent 23% plus de chances de vivre heureux en ména-ge, contrairement à ceux qui eux ne fréquentent pas une église.

Amitié. Ceux qui fréquentent une église en tirent deux autres bénéfices : l’amitié et un sens d’appartenance.

Dans leur livre intitulé, Grandir, une nouvelle vision pour l’école du dimanche, Charles Arn, Donald McGavran et Win Arn font ressortir l’importance du rôle que remplit l’amitié dans une église vivante. Une théorie appuyée par de nom-breux sondages, et par de nombreuses opinions personnel-les, car l’amitié attire les gens tout en jouant le rôle de catalyseur. En fait, le motif et la raison principale qui incitent les personnes à joindre une église, c’est sans aucun doute l’amabilité des gens.

Une attention personnalisée. Vous trouverez aussi dans une église, l’aide et la compassion apportée par ses membres.

J’ai fréquenté des églises où les membres se liguaient pour apporter des soins aux malades, pour supporter les handica-pés, pour apporter des repas à ceux qui ne pouvaient sortir, pour offrir un toit aux sans-abris, pour assister les plus âgés, et pour préparer des activités sociales pour les adolescents.

Parmi les églises que j’ai fréquentées, l’une d’elle parrainait un programme d’aide pour les divorcés, en plus d’offrir des groupes de support, aux parents d’adolescents et aux pa-rents de futurs adolescents, aux célibataires, à ceux qui vivaient une dépendance face soit aux drogues, soit à l’alcool, soit au sexe, en plus d’aider les victimes de viol ou d’inceste, ou ceux et celles qui souffraient de boulimie ou d’anorexie. Tous pouvaient y trouver l’aide recherchée.

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